Williams: Mijn gok met Maldonado heeft zijn vruchten afgeworpen

Pastor Maldonado a beau avoir profité du déclassement de Lewis Hamilton pour partir en pole et s'imposer au Grand Prix d'Espagne, le Vénézuélien a fait sensation. Frank Williams répond aux critiques à l'encontre de son pilote payant.

gepubliceerde 15/05/2012 à 19:01

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Williams: Mijn gok met Maldonado heeft zijn vruchten afgeworpen

Williams F1 Team s’était fait critiquer en recrutant Pastor Maldonado après que le Vénézuélien a décroché le titre GP2 au terme de sa quatrième saison dans la discipline. Mais Grove était en manque cruel d’argent et le soutien du groupe pétrolier PDVSA a apporté une rentrée suffisante pour maintenir l’écurie à flot. Si cette recrue a alimenté les débats sur la présence croissante des pilotes payants en F1, ces derniers profitent des multiples opportunités offertes cette saison pour se mettre en valeur et faire taire les critiques. Après la deuxième place de Sergio Perez au Grand Prix de Malaisie, Pastor Maldonado fait taire les critiques en remportant une victoire méritée à Barcelone.

Frank Williams, qui ne pouvait pas recevoir plus beau cadeau alors qu’il venait de fêter ses 70 ans, a tenu à rappeler que le choix du Vénézuélien avait été avant tout effectué par rapport à ses performances plutôt qu’avec l’attrait financier qu’il générait. « Bien entendu cela a joué, je ne le nie pas », avoue-t-il pourtant. « Mais si nous l’avions jugé comme étant un incapable, il n’aurait pas mis les pieds dans cette écurie, peu importe l’argent dont il dispose. Il a réalisé un travail très positif en GP2 et il mérite totalement d’être dans l’équipe quelque soit le fric qu’il amène avec lui. Le fait est que vous ne pouvez pas faire de F1 sans argent. Je suis stupéfait de la manière dont il s’est contrôlé sans commettre la moindre erreur. Un pilote a tendance à partir à la faute lorsqu’il se retrouve pour la première fois en tête. Mais de ce que j’ai vu, il n’a jamais eu cette tendance. Il est constamment resté calme à la radio. C’est la première course qu’il mène sans cesse, la pression monte pour ne pas penser au podium, à ce que va dire sa mère ou à la récompense financière. On pense à ne pas se crasher, à ne pas faire d’erreurs, à freiner un peu plus tôt. C’est ce qu’il a fait. »

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